Ce livre publié en décembre 2018 révèle un nouveau trajet pour l’Exode des Hébreux (1345-1327 avant JC) et nous apprend quel personnage surprenant se cache derrière Moïse, ceci grâce aux nouvelles découvertes archéologiques au Soudan, l’analyse des trajets migratoires des cailles, les données de la vulcanologie, l’analyse des textes de la tombe du général Horemheb et les traditions arabes médiévales peu connues. Moïse, loin d’être un prophète créateur du monothéisme, serait en fait un prince héritier adopté puis exilé en Nubie, revenu reprendre le trône d’Egypte injustement accaparé par Akhenaton et libérer les opprimés du régime. Lors d’un long périple de plus de 3500 km autour de la mer Rouge, il initie un peuple pluriethnique à une éthique naturaliste universelle établie devant la vision magmatique d’un volcan en éruption situé dans la province du Hedjaz non loin de La Mecque.

Après avoir passé la mer Rouge, les Hébreux se nourrissent d’une importante quantité de cailles venues de la mer et tombées harassées autour du camp. Or les cailles traversent depuis toujours d’ouest en est cette mer Rouge par millions au mois de Nisan (15 mars) au détroit de Bab El-Mandeb à l’extrémité sud de cette mer. Donc le passage de la mer Rouge eu lieu tout au sud. Ce qui explique qu’ils marchèrent 3 lunaisons.

La description du Sinaï dans la Bible est indiscutablement celle d’une éruption volcanique. Or à l’époque où les textes situent l’Exode (1345-1327 Av. JC.) il n’y a jamais eu d’activité volcanique dans la péninsule du Sinaï contrairement au Hedjaz.

Le vent souffle depuis toujours du nord vers le sud en Egypte et au Soudan. La nuée suit le vent car elle est poussée par lui. Or il est écrit dans la Bible qu’elle montre le chemin au peuple, donc celui-ci va du nord (Le delta) vers le sud (Le Soudan et l’Erythrée).

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